Jésus, en sa personne, a rendu visible sur terre l’invisible de Dieu.
Le lien de l’un à l’autre est ce qu’on appelle le mystère de l’Incarnation dont témoignent les artistes chrétiens.
« Savez-vous que l’humanité peut se passer des Anglais,
qu’elle peut se passer de l’Allemagne,
que rien ne lui est plus facile que de se passer des Russes,
qu’elle n’a pas besoin pour vivre de science et de pain,
mais que seule la beauté lui est indispensable
car sans beauté il n’y aurait plus rien à faire en ce monde.
Là est tout le secret, toute l’histoire est là. »
Dostoïevski ; « les Possédés »
La frontière entre le visible et l’invisible
L’Evangile raconte (Luc 24,13-32) qu’au soir de la Résurrection, Jésus rejoignit deux de ses disciples en marche vers un village appelé Emmaüs. Nos deux amis ne savaient pas que leur Maître était avec eux jusqu’au moment où, faisant halte à l’auberge, au cours du repas ils le reconnurent au partage du pain ; mais, au moment « où leurs yeux s’ouvrirent, il disparut à leurs yeux ». Pierre de Grauw, un ami sculpteur profondément croyant, décédé récemment, a tenté de représenter cet événement. A peine était-il disparu que sortait un livre posthume (1) où il commentait ses principales œuvres. La façon dont il parle de sa sculpture illustre la façon dont les chrétiens devraient concevoir l’art sacré : « Dans un relief très sensible, j’essayai donc de sculpter le moment où le Christ est en train de disparaître, où il s’efface calmement, mystérieusement, au grand étonnement de ses deux convives, laissant une place vide entre eux. » Il s’agit pour Pierre de « faire sentir la frontière entre visible et invisible ». A l’intérieur de son commentaire il reproche discrètement à l’Eglise d’aujourd’hui de s’afficher d’une façon trop provocante alors qu’il s’agit de reconnaître un Dieu invisible qui s’incarne. Ce disant il retrouve la sensibilité chrétienne traditionnelle.
Dès le départ de Jésus, les premiers croyants vécurent dans cette cohérence : on peut ouvrir les yeux, les oreilles ou les lèvres en ce monde et percevoir la présence qu’il avait promise. Telle était, en effet, l’expérience que faisaient les toutes premières communautés. L’eau dans laquelle on baignait les corps était perçue comme une rencontre de l’invisible ainsi que le pain et le vin qu’on partageait fraternellement autour d’une table dans une maison. Bien sûr on n’avait pas la prétention de faire œuvre d’artiste mais dans ces rencontres, les lettres de St Paul en témoignent, on chantait des hymnes et on écoutait les beaux textes de la Bible, en particulier les psaumes ; ceux-ci s’adressant à Dieu, évoquent la beauté du monde et la condition contrastée de l’homme, « à la fois couronné de gloire et de splendeur » (Ps.8) et accablé par le poids de ses fautes : « Pitié Seigneur car nous avons péché ! » (Ps. 150). Et surtout les oreilles s’ouvraient sur les récits des témoins qui avaient vécu avec Jésus. Parlant en son nom ceux-ci faisaient apparaître en la personne du Galiléen un véritable poète qui savait admirer le vol des oiseaux, la beauté des fleurs des champs ou la couleur du soleil couchant. Ses discours célébraient la lumière – celle de Dieu comme celle des hommes. Les champs de blé ou les grappes des vignes lui donnaient matière à discours et à paraboles. L’écoute de ces témoignages, dans les premières communautés, faisait naître des évidences communes : ce qui touchait les sens pénétrait dans les cœurs et dans l’intelligence. Jésus avait dit à ceux qui se reconnaissaient ses disciples : « Heureux les yeux qui voient et les oreilles qui entendent ! ». Contrairement au regard des opposants, ceux qui « suivaient Jésus », au moins par moments, en voyant la silhouette du Nazaréen ou en écoutant ses discours, avaient perçu un Autre qu’il appelait Père. Face à ces hommes et ces femmes au milieu desquels on était réuni au nom de Jésus, en goûtant le pain et le vin, en écoutant l’Ecriture et les récits des témoins, on était « heureux » de reconnaître que, tout en étant absent et invisible, l’Envoyé du Père était présent, dans l’Esprit qui avait été promis.
L’art chrétien
Cette rencontre du visible et de l’invisible est le secret de l’art chrétien. Pendant de nombreuses années, contrainte de se cacher, l’Eglise a pratiqué son culte clandestinement dans les catacombes. Quelques formes conventionnelles ont été inventées : simples signes mais qui ont trouvé leur place plus tard dans l’iconographie chrétienne. Il suffisait, par exemple, de tracer le dessin d’un poisson pour se faire connaître comme disciple de Jésus (2). Il a fallu attendre l’avènement d’un Empereur chrétien, au quatrième siècle, pour que les chrétiens puissent s’exprimer.
Dès l’année 330, l’Empereur Constantin faisait appel à deux architectes célèbres pour construire la basilique Sainte Sophie à Byzance. Naissait alors ce qu’on a appelé le « style byzantin ». Schématiquement ce style concerne d’une part l’architecture et d’autre part des mosaïques ou des icônes évoquant le Christ, Marie ou les saints. L’architecture a influencé les musulmans arabes et les chrétiens d’Europe.
Les croisés, retournant chez eux, ont importé une architecture qu’on retrouve dans les cathédrales et les églises romanes : qu’on songe, entre autres, à Autun, Chartres, Vézelay et aux sanctuaires de beaucoup de villages, dans la région de Cluny en particulier. Cathédrales et églises se distinguent pourtant des édifices moyen-orientaux en particulier par des nuances dans la façon de concevoir et de vivre la foi. Tout chrétien prétend que le Dieu invisible s’est manifesté dans l’histoire charnelle d’un menuisier galiléen devenu « rabbi ». Il croit aussi que ce Dieu invisible continue de se manifester dans sa création et dans son Eglise. L’expression des uns insiste sur l’invisibilité de Celui qu’ils honorent ; l’expression des autres, en Occident, est plus sensible à ce monde où Jésus s’incarne. Ainsi l’entrée des cathédrales est surmontée en Europe d’un tympan qui offre au regard une sorte de scène théâtrale où trône Jésus, le personnage principal. Il est encadré à sa droite, par ceux qu’il admet dans son royaume et à sa gauche par ceux qu’il rejette. Dans les foules on distingue les appartenances sociales : l’évêque avec sa mitre, le pèlerin avec sa besace, le laboureur avec sa charrue. Sur les chapiteaux sont sculptées des scènes pittoresques de l’Evangile : le réveil des rois mages, lors de la naissance de Jésus à Bethléem, le départ en Egypte avec un âne pour fuir le génocide d’Hérode. Certes la pénombre de la nef favorise un vrai recueillement, permettant un regard intérieur mais qui ne peut se séparer de ce que l’Evangile montre du temps de Jésus pas plus qu’il ne peut se séparer de ce que montre l’environnement.
La sensibilité esthétique des « Chrétiens d’Orient » est autre. Pas de tympan au portail des basiliques, pas de statues, pas de scènes évangéliques. En revanche de magnifiques mosaïques ornent les voûtes avec des couleurs dorées évoquant la lumière. On reconnaît les personnages de l’Evangile - le Christ, Marie, les apôtres - mais les postures sont figées, les personnages sont à peu près à l’écart du monde sensible. Jésus sort de l’histoire. C’est le Christ tel qu’on l’attend par-delà le jugement dernier, nimbé de lumière, entouré des deux lettres grecques qui évoquent le dépassement du temps : l’alpha et l’oméga. On l’appelle le Pantocrator, c’est-à-dire le Tout-Puissant.
La querelle des images
C’est peut-être la rencontre de l’islam dans les pays du Proche-Orient qui explique ces différences d’approches. Le contact avec la société musulmane en Irak, en Syrie, en Palestine ou en Egypte permettait une rencontre avec des croyants en contact avec un Dieu transcendant. A leurs yeux, entre lui et nous, aucune rencontre avec Dieu n’est possible et rien de profane ne doit interférer. Certes il a parlé : tenons « à la lettre » de ce qu’Il a dit. Chaque lettre du Coran est sainte et seule elle peut toucher notre regard et toute représentation concernant Dieu ou le Prophète doit être proscrite.
Par contagion les chrétiens en vinrent à s’interroger sur la pertinence des mosaïques ou des peintures sur bois évoquant le Christ ou les saints. N’est-il pas sacrilège d’évoquer ce Royaume des Cieux dont parlait Jésus ? La question prit une tournure politique au VIIIème siècle : un Empereur en vint à interdire toute image religieuse et à ordonner de détruire mosaïques et icônes. Ces mesures déclenchèrent de graves conflits entre les partisans de l’empereur : les iconoclastes (3) et ceux qui refusaient de s’y soumettre. Un Concile, en 787, revint sur les décisions impériales mais la crise rebondit bientôt pour se prolonger jusqu’en 843.
Une question théologique est au cœur de ces événements. Ceux qui défendaient les images s’efforçaient de défendre la foi en l’incarnation. Le Seigneur invisible s’est manifesté dans l’histoire très concrète d’un charpentier de Nazareth. La condition charnelle de Jésus était la manifestation sur la terre du « Père qui est aux cieux ». Ce mystère donne aux réalités terrestres de demeurer un lieu où Dieu se fait connaître ; le bois ou le mur sur lequel sont évoqués le Pantocrator, la Vierge ou les saints maintiennent la jonction entre ce monde visible et l’invisible du Royaume de Dieu.
Un théologien oriental, au XIVème siècle, Grégoire Palamas, a réfléchi sur cette question. Certes, Dieu en lui-même est inaccessible mais il faut distinguer entre ce qu’Il est et ce qu’il fait ; ce qu’il fait est perceptible puisque nous disons que le monde est son œuvre. C’est son action encore que manifeste celui que Jean appelle « Verbe de Dieu ». Pour la percevoir, inséparable de ce qu’il est, un certain regard est nécessaire. Au cours de son histoire terrestre, il y eut, avant la Résurrection, un moment où les yeux des apôtres Pierre, Jacques et Jean, ont perçu en Jésus l’autre du monde qu’il est venu manifester : il entra dans une nuée et ses vêtements devinrent d’un blanc éblouissant. « Il fut transfiguré » dit-on. En réalité c’est moins l’aspect de sa personne qui changeait que le regard de ses disciples ; pendant un instant ils perçurent le monde d’où il venait. « Je suis la lumière du monde » leur avait dit Jésus. A la Transfiguration, trois amis de Jésus entraient dans cette lumière qui leur a permis de voir. « Dans ta lumière nous verrons la lumière » disait le psaume (Ps 36,9) : au jour de la Transfiguration cette prophétie se réalisait, anticipant le jour où, à l’heure où le soleil se lève, on le découvrirait ressuscité. Pour le reconnaître il fallait, au jour de Pâque, entrer dans cet univers lumineux.
Art et liturgie
s’agit pas de reconnaître celui ou celle qui sont représentés mais de déceler que les traits et les couleurs étalés sur un morceau de bois ne touchent les yeux que pour les ouvrir sur le Royaume que Jésus a révélé : Il a fait connaître l’invisible. L’icône montre le visible de l’invisible, évoquant plus une présence qu’une représentation.
La tradition orthodoxe et la tradition catholique, en christianisme, croient en la visibilité dans le monde de celui qui en est absent et invisible. La liturgie célèbre cette présence ; c’est, en effet, dans les célébrations que les icônes ont leur place chez les orthodoxes et chez les chrétiens d’Orient. Dans leurs églises l’espace est séparé par une cloison d’icônes, distinguant le lieu où se tiennent les célébrants et celui où l’Assemblée prend place. On encense les icônes, non pour les vénérer mais pour honorer la présence invisible que reconnaissent les croyants.
L’Eglise romaine n’a pas tout-à-fait la même sensibilité. Il est notable que, prenant des décisions concernant la célébration de l’Eucharistie, le Concile de Trente (XVIème siècle) n’ait pas fait allusion à ce qui frappe les yeux et les oreilles. Cependant, même dépourvues d’icônes, les Messes, en Occident ne se contentent pas de discerner le pain et vin qui sont, plus encore que les icônes, manifestations aux yeux du croyant, du don de Dieu en Jésus. On y déploie des couleurs : le blanc, le vert, le violet ou le rouge selon les fêtes ou les temps liturgiques. La musique est à l’œuvre et on chante. Dans les circonstances solennelles on encense le pain, le vin, les célébrants et l’assemblée. Tous les sens sont touchés. A l’époque de l’iconoclasme, l’Europe a été assez peu ébranlée. Toutes les œuvres artistiques, la sculpture en particulier, en appelaient à la foi tout autant que les icônes
Les temps modernes
Il y eut un moment, dans l’histoire de l’Europe, où l’art a pris un tournant ; le sentiment religieux a eu tendance à prendre la place de la foi ! Avant ce tournant, icônes ou cathédrales donnaient à contempler non l’image de Jésus mais la jonction de l’Au-delà et de l’Ici-bas amorcée avec l’histoire du Nazaréen. Elles ne visaient pas un effet esthétique et ne pouvaient être saisies qu’en sortant de l’horizon quotidien. Au début du XIVème siècle un sculpteur donnait à voir un Christ sur la croix très saisissant (4). Il n’est pas besoin d’être croyant pour être touché par la manière dont la douleur du crucifié est représentée. Le visible de la croix est étonnant de réalisme mais il n’est plus le véhicule de l’invisible. De même un très beau tableau du XVème siècle montre Marie portant sur ses genoux son fils à peine descendu de la Croix (5) ; la souffrance de la vierge appelle la compassion mais quel contraste avec les paroles de St Jean. « Nous avons vu sa gloire », dit-il aux premières pages de son évangile. Lorsque son maître meurt sur la croix, il insiste encore pour dire « j’ai vu ». La vie qui disparaît sur le gibet, à ses yeux, n’entraîne pas la pitié mais l’admiration : « Nous avons vu sa gloire ! » Autrement dit, il voit dans la rencontre entre l’effacement du Maître et sa manifestation dans un monde nouveau, la victoire du Christ. Ce regard qui était celui des peintres d’icônes ou des bâtisseurs de cathédrales semble disparaître. Les vierges de la renaissance florentine flattent le regard plus qu’elles n’appellent la foi. Chacun se rappelle les réactions de Michel-Ange face à sa statue de Moïse qu’on peut voir à Rome : « Elle va parler ». L’œuvre trouve sa raison d’être en elle-même sans se référer davantage à ce qu’elle représente. Moïse avait parlé à Dieu et voici qu’ils sont silencieux l’un et l’autre. Un bloc de marbre s’exprime à leur place.
Un théologien orthodoxe (6) prétend que l’Occident ne sait plus ce que c’est que l’art sacré. Cette disparition, selon lui, correspond à la découverte de la perspective en peinture ; les lignes du tableau appellent le regard vers lui alors que les icônes sont tournées vers le spectateur.
La critique est peut-être trop sévère : en voici trois exemples. Lorsqu’on regarde « la Sainte Face » de Rouault on s’interroge : est-ce le spectateur qui regarde l’œuvre ou l’inverse ? Les grands yeux noirs sont tournés vers nous ; ils entrent chez nous et nous appellent. Un autre peintre, Dominique Penloup, a fait un chemin de croix qu’on peut aller contempler dans la cathédrale de Bayeux. On ne peut voir aucune représentation dans les quinze beaux tableaux de son œuvre. A la place des figures humaines, on nous montre des pages d’Ecriture illisibles sauf les lettres et les chiffres qui renvoient aux passages de la Bible, à l’auteur invisible qui parle dans l’Ecriture Sainte. Parlons enfin de Pierre de Grauw qui a été évoqué au début de cet article. Sa façon de parler d’Emmaüs nous indique dans quel esprit il a travaillé : tenir à la fois le visible et l’invisible en ce lieu où se sont trouvés les disciples d’Emmaüs à l’instant où « leurs yeux s’ouvrirent ». Le livre qu’il a écrit pour commenter son œuvre est éclairant : « Parole et écriture ». A le lire, en effet, on découvre que chacune de ses œuvres répond à une page de la Bible qu’il a écoutée et perçue comme une invitation. L’œuvre nous renvoie la parole que le sculpteur a reçue : « Parole pour les yeux » à la façon des icônes.
Les chrétiens n’ont pas le monopole de la création artistique. Si leur originalité consiste à ouvrir les yeux sur la jonction entre le visible et l’invisible reste qu’à toutes les époques, musiciens, peintres, sculpteurs, écrivains, avaient l’intuition d’un univers dépassant le monde que les sens perçoivent. Nous sommes « les abeilles de l’invisible » disait le poète Rainer Maria Rilke. Les œuvres belles véhiculent quelque chose de sacré et d’universel. Lorsque les talibans, en 2001, réduisaient en poussière les immenses statues de Bouddha en Afghanistan ou lorsque l’Etat Islamique, plus récemment, détruisait les belles colonnes de la cité antique de Palmyre, on a éprouvé partout dans le monde un sentiment de sacrilège. André Malraux avait beaucoup réfléchi en regardant les œuvres de toutes les régions du monde et de toutes les époques. Il y décèle le désir d’accéder à ce qu’il y a de réel dans la condition humaine. Ce que nos yeux voient n’est qu’une apparence. Même lorsqu’elle s’efforce de traduire le visible, jamais une peinture ou une sculpture n’en est la reproduction. Elle ouvre toujours sur ce qui la dépasse.
Malraux encore trouve, dans les productions artistiques, matière à méditer sur le temps. Il cite un joli conte hindou. Un sage envoie un jour son disciple lui chercher de l’eau. Pour aller puiser dans la source il faut marcher un quart d’heure et le maître pouvait espérer qu’au bout d’une demi-heure il se désaltérerait. Mais celui à qui la mission était confiée fait mille rencontres sur son chemin ; il se marie et connaît bien des aventures. Il était déjà avancé en âge lorsqu’il se rappelle qu’on l’attendait et retourne auprès du maître pour lui donner à boire. Celui-ci, d’après le conte, voyant arriver son disciple, n’avait nullement conscience d’un retard incalculable. Ainsi en va-t-il d’une œuvre d’art ; elle fait pénétrer dans un univers où le temps est suspendu. Il est bien vrai que, par-delà 17 millénaires, en regardant les œuvres peintes dans les grottes de Lascaux, nous sommes rejoints. C’est sans doute cette entrée dans un univers où la mort est dépassée qui fait dire à Dostoïevski que « la beauté sauvera le monde » et aux musulmans : « Dieu est grand et il aime la beauté ».
Michel Jondot
1- Pierre de Grauw ; « Parole et sculpture ». St léger Editions. Pages 161-166
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2- Les lettres grecques du mot poisson (Ichthus) sont un acronyme composé à partir des premières lettres de l’expression « Jésus Christ fils du Dieu sauveur ».
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3- Ce terme, forgé de deux mots grecs, signifie « briseur d’images ».
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4- « Le dévot Christ de Perpignan »
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5- « La piéta d’Avignon »
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6- Paul Evdokimov ; « L’art de l’icône »
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